Nîmes Les arènes La maison Carrée Carré d’art Musée de la Romanité Jardins de la Fontaine La tour Magne Les allées Jean Jaurès Square Antonin
La fontaine Pradier La porte Auguste L’avenue Feuchères La gare Place d’Assas Palais de justice Hôtel de ville La tour de l’horloge
La coupole des Halles Porte de France Le Castellum Théâtre Nemausus de Nouvel Le colisée Musée histoire naturelle Musée du Vieux Nîmes Grand temple
Petit temple Temple de l’Oratoire Cimetière protestant L’église Saint-Paul La cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Castor L’église Saint-Baudile
L’église Sainte Perpétue Sanctuaire Notre-Dame-de-Santa-Cruz
L’auteur de ces pages sur la « Rome française » étant nîmois de naissance et ayant vécu de nombreuses années dans cette ville, se devait de faire découvrir son histoire de plus de deux mille ans. S’y côtoient les vestiges de l’Antiquité avec les incontournables monuments romains et les édifices contemporains conçus par les plus illustres architectes du XXe siècle, mais aussi les hôtels particuliers, les bâtiments religieux et civils.
Nîmes, ville d’Occitanie, localisée dans la région du sud de la France, est située à quelques dizaines de kilomètres de la mer Méditerranée et des montagnes des Cévennes.
Avec 300 jours de soleil par an, la qualité de vie y est appréciée par ses habitants et visiteurs.
Mondialement connue pour la majesté et l’exceptionnelle conservation de ses monuments romains.
Créée il y a plus de 2 000 ans, la commune comptait en 2020, 147 500 habitants.
L’édification de Nîmes remonte à l’Antiquité de la période romaine, elle conserve des monuments tels que les arènes, la Maison Carrée ou encore la tour Magne au pied de laquelle se situe le site du sanctuaire de la Fontaine. Ce riche passé antique lui vaut le surnom de « Rome française ». Ville à la fois gauloise, romaine, camarguaise, cévenole, languedocienne et provençale, fief protestant depuis le XVIe siècle et centre de production de tissus à partir du XVIIIe siècle, avec notamment la fameuse toile denim, Nîmes possède une culture et une histoire riches et reste une ville à forte identité.
La valorisation de son patrimoine historique, culturel et architectural a permis à la ville d’obtenir le label de Ville d’art et d’histoire.
Pour se rendre à Nîmes :
En train, la ville est bien desservie grâce à la ligne TGV. La gare de cette ligne Nîmes Pont du Gard est reliée à la gare de Nîmes Centre par TER.
En avion, à l’aéroport de Nîmes-Grande Provence Méditerranée, situé à 10 minutes de la ville et à proximité immédiate de l’autoroute A54, il est aussi accessible en transports en commun par la navette aéroport du réseau Tango. Une station de taxis est disponible.
En voiture par l’autoroute A9, « la Languedocienne », axe principal très fréquenté qui assure la liaison entre l’Europe du Nord et l’Espagne via la vallée du Rhône. Elle dessert la ville de Nîmes sur sa façade sud par deux accès est et ouest.
Pour visiter Nîmes :
Le petit train de Nîmes, situé aux Arènes, propose une excursion au cœur de la cité, commentée en anglais et en français d’environ 35 minutes.
Le Nîmes CITYPASS permet de découvrir l’ensemble de l’offre culturelle et les prestations touristiques au moyen d’un seul support, à un tarif privilégié. Il est proposé sur des durées de 2 jours, 4 jours ou 7 jours.
Tarifs 2023 :
2 jours : 29 €
4 jours : 37 €
7 jours : 39 €
Possibilité d’acheter le Pass depuis le site internet ou dans l’un des points de vente.
https://www.nimescitypass.com/lang/fr
Office de Tourisme de Nîmes
Adresse : 6 Bd des Arènes, 30900 Nîmes
Téléphone : 04 66 58 38 00
Ouverture du 1er novembre au 31 mars «du lundi au dimanche de 9 h 00 à 18 h 00»
du 1er avril au 31 octobre du «lundi au dimanche de 9 h 00 à 19 h 00»
https://www.nimes-tourisme.com/fr/
L’agglomération de Nîmes possède un réseau de transports en commun placé sous la responsabilité de la communauté d’agglomération Nîmes Métropole qui est exploité sous la marque Tango !
Vue de Nîmes depuis le sommet de la tour Magne
Les armes de Nîmes
COL NEM étant les mots abrégés de colonia Nemausensis
Monnaie romaine ou gauloise, l’as de Nîmes a été frappé en 28 avant Jésus-Christ, lorsque Nemausus eut le droit de faire sa propre monnaie. On frappa alors une pièce en l’honneur d’Auguste, qui avait permis la construction de cette cité.
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Cet as de Nîmes a, comme toutes les pièces, deux faces. Sur l’une on peut voir deux têtes dos à dos. Ces têtes sont celles d’Auguste et d’Agrippa, son neveu. Sur l’autre face, nous observons le fameux crocodile enchaîné au palmier. Ce crocodile représente alors la victoire d’Octave (plus tard Auguste) et d’Agrippa, sur Antoine et Cléopâtre.
Le crocodile représenterait l’Égypte vaincue et enchaînée.
| Photos : Jean–François Collins. |
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