Nîmes Les arènes La maison Carrée Carré d’art Musée de la Romanité Jardins de la Fontaine La tour Magne Les allées Jean Jaurès Square Antonin
La fontaine Pradier La porte Auguste L’avenue Feuchères La gare Place d’Assas Palais de justice Hôtel de ville La tour de l’horloge
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Petit temple Temple de l’Oratoire Cimetière protestant L’église Saint-Paul La cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Castor L’église Saint-Baudile
L’église Sainte Perpétue Sanctuaire Notre-Dame-de-Santa-Cruz
Cette avenue superbe, longue d’un kilomètre et demi, et large de 60 mètres a été réaménagée en 2015. Elle est agrémentée d’une fontaine sèche scénique, de deux bassins « type miroir », des canaux alimentés par une cascade. À son extrémité nord se découvre le jardin de la Fontaine, à l’autre extrémité sud, l’avenue de la Liberté.
La mise en valeur de ce vaste boulevard a été confiée à l’équipe de Jean-Michel Wilmotte (architecte, urbaniste et designer français).
Son aspect avec un terre-plein central, des trottoirs de chaque côté de l’avenue mettent le piéton au cœur de cet espace.
Le monument aux Martyrs de la Résistance et le mémorial gardois de la déportation
Le monument, une pyramide en la mémoire des martyrs de la Résistance sur l’avenue Jean Jaurès, a été inauguré en 1954.
Le 10 octobre 2021, c’est le nom de 1 066 victimes de la déportation nazie qui est désormais gravé sur le monument à la mémoire des martyrs de la Résistance.
Le taureau de Nîmes.
Une histoire peu banale.
Dans le cadre de l’exposition universelle de Paris de 1937, la statue d’un bœuf réalisée par le sculpteur Auguste Cain est exposée, et comme, il faut faire de la place au Trocadéro elle sera offerte à la ville de Nîmes.
Après exposition dans différents quartiers de la ville, la décision est prise de l’ériger sur une colonne
de 9 mètres au rond-point de Camargue, en bas de l’avenue Jean Jaurès.
Bœuf pour certains, taureau pour d’autres, en désespoir d’attributs manquants, cette statue reste pour les Nîmois le Taureau !
| Photos : Jean–François Collins. |
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